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Dans cette vidéo, Emilie Coyle, la directrice générale de l’ACSEF, interviewe Emilie Taman (Champ Law and Associates). Taman représentait l’ACSEF lors de l’intervention à la Cour Suprême du Canada dans l’affaire R c. Sharma. Elles discutent de la signification d’une intervention à la Cour Suprême du Canada, de l’argumentaire de l’ACSEF, et d’autres enjeux. Le sous-titrage codé est disponible en anglais et en français.
Vous pouvez lire l’intégralité de l’intervention sur https://www.scc-csc.ca/WebDocuments-D… (anglais seulement).
Cette table ronde a été enregistrée le 19 avril 2021 pour répondre aux questions et aux inquiétudes des personnes incarcérées et de leurs proches. La Dre Idil Abdillahi et El Jones, ainsi que des membres des équipes de défense des droits de l’ACSEF, ont abordé différents enjeux.
Les panélistes discutent notamment des questions suivantes :
Une version de cette table ronde a été fournie au Service correctionnel du Canada pour qu’il puisse la faire voir aux personnes incarcérées dans les établissements fédéraux.
Pour marquer la Journée canadienne de la santé sexuelle et reproductive 2021 et le lancement de notre rapport « (In)justice reproductive dans les pénitenciers fédéraux pour femmes au Canada », nous diffusons cette conversation d’une heure entre Emilie Coyle, Martha Paynter et Toni Sinclair, qui discutent en profondeur du sujet. Elles parlent de la conception et de la tenue des ateliers qui ont donné naissance au rapport, ainsi que des apprentissages et de la suite du projet.
Pour marquer la Journée de la justice pour les prisonnier(-ière)s 2020, nous avons présenté le film The Garden Collective, de Sara Wylie. Le film suit le Prison for Women Memorial Collective alors qu’il tente d’aménager un jardin commémoratif sur le site de l’ancienne Prison des femmes (P4W) à Kingston, en Ontario. La projection est suivie d’une discussion entre les membres du collectif P4W et des personnes de l’ACSEF : Ann Hansen, Sara Tessier et Rashida Samji.
Notre organisation a toujours su qu’il fallait se battre pour faire reconnaître les droits des personnes criminalisées et marginalisées. Lors de la pandémie de COVID-19, toutefois, nous avons constaté que ces droits pouvaient être ignorés ou minimisés même après avoir été obtenus. Il n’est pas suffisant de faire inscrire les droits dans des lois.
En 2021, nous nous sommes inspirés de l’héritage de la personne qui a donné son nom à notre organisme, Elizabeth Fry, et de ses efforts pour faire reconnaître l’humanité des personnes incarcérées; notre campagne de sensibilisation visait à souligner le mot « humain » dans « droits humains ».
Grâce à une série d’entrevues vidéo, accessibles ci-dessous, nous avons souligné le travail réalisé par notre réseau de défenseurs et défenseuses régionales des droits et par les 24 Sociétés Elizabeth Fry locales pour protéger l’humanité des personnes aux prises avec des structures et des systèmes déshumanisants. Nous avons aussi profité de ce moment pour répéter nos nombreux appels à l’action visant à protéger la sécurité des personnes incarcérées pendant la pandémie de COVID-19.
Le 16 novembre 2020, une coalition de groupes militant pour la justice en prison a lancé pendant 15 jours une initiative de « gros plan » sur la pratique de l’isolement cellulaire, qui perdure au Canada. Cette initiative se terminait par le premier anniversaire de la soi-disant mise en œuvre des unités d’intervention structurée (UIS) dans les pénitenciers canadiens
Bien que le gouvernement fédéral ait annoncé que l’isolement cellulaire avait été aboli au Canada, cette campagne de 15 jours (coordonnée par l’Association canadienne des Sociétés Elizabeth Fry, la Société John Howard du Canada, Prisoners’ Legal Services et l’École de droit Schulich de l’Université Dalhousie) a révélé toutes les formes et tous les noms que prend aujourd’hui la pratique de l’isolement cellulaire au Canada.
Les activités quotidiennes comprenaient des tables rondes avec des activistes, des universitaires, des avocats et des politiciens parmi les plus respectés et réputés au Canada, ainsi que des personnes avec des antécédents d’incarcération et des groupes communautaires. Regardez les enregistrements ci-dessous.
En avril-mai 2020, au moment où nous entrions dans la première vague de COVID-19, l’ACSEF a collaboré avec le mouvement Justice pour Soli pour organiser une série de conversations diffusées en direct avec des activistes, des professionnel(le)s du droit et de la santé, des représentant(e)s du gouvernement et des personnes avec des antécédents d’incarcération. Regardez les enregistrements ci-dessous.
Santé publique et prison, avec Martha Paynter
Travailler en solidarité avec les personnes incarcérées, avec El Jones
Conditions de détention, avec Paul Champ
L’impact genré de la COVID-19 sur les femmes autochtones, avec la Dre Pam Palmater
Les conséquences de l’incarcération sur la santé spirituelle et mentale, avec l’imam Yasin Dwyer
Passer à l’action, avec Lindsay Jennings et Souheil Benslimane
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